Nouvelles des Douze  n° 23

 

L’événement religieux de l’été: 1

les Journées mondiales de la jeunesse. 1

Matinée de rentrée de l’unité pastorale le 21 septembre à Fexhe-Slins. 2

« Allez à ma vigne ! ». 2

Photo de famille (12)

L'église Saint Barthélemy de Juprelle

« Liège doit Notger au Christ et beaucoup à Notger ! ». 2

Banneux. 4

Le Centre Social Italien de Rocourt 4

Devenir volontaire en milieu hospitalier 5

Catéchèse de Profession de Foi 5

Jean-Claude Gianadda. 6

La Sainte du mois : 6

Émilie de Rodat († 1852) 6

 

L’événement religieux de l’été:

les Journées mondiales de la jeunesse

 

Chers lecteurs,

 

JMJ comme Journées mondiales de la jeunesse. Une fois de plus, la rencontre internationale des jeunes du monde entier en juillet à Sydney a attiré des centaines de milliers de participants. Phénomène éphémère et difficile à évaluer ou signe d’un “rajeunissement” réel de l’Eglise ?

 

C’est en 1984 que sont nées les Journées mondiales de la Jeunesse et depuis, elles ont habituellement lieu chaque année en alternance dans la capitale italienne, le jour des Rameaux, et dans des villes étrangères partout dans le monde. Cette année, environ 400 Belges ont fait le long voyage en Australie, dont une quarantaine de notre diocèse.

 

Qu’est-ce qui explique cet intérêt des jeunes pour des « happenings » religieux ? Pour le père Antoine de Romanet, responsable des JMJ pour Paris en 1997, le recrutement des jeunes s’est effectué par une phénomène de réseaux : « Les jeunes s’agrègent autour d’un noyau, qui peut être une paroisse dynamique ou une personnalité forte. Les copains font venir les copains. Tout part d’un noyau qui se fait évangélisateur sans complexes, parce que ce n’est plus ringard. »

 

Les JMJ sont-elles la preuve que l’Eglise des jeunes est bien vivante et que le pape Benoît XVI, même s’il n’a pas le charisme de Jean-Paul II, « passe bien » auprès de ceux qui sont l’avenir du catholicisme ? Le pape joue-t-il le rôle d’un véritable père: représenter la loi, donner des repères et, tout à la fois, donner le pardon, montrer de la tendresse ? Les jeunes semblent également fascinés par un nouveau type de discours qui s’attache davantage à ce qui fonde la morale chrétienne plutôt qu’à cette morale elle-même : la rencontre avec Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme.

 

Néanmoins, il faut s’interroger aussi sur l’après-JMJ. Si ces manifestations mondiales constituent un succès, il serait une erreur de penser qu’elles mettent définitivement fin au malentendu profond entre beaucoup de catholiques, jeunes et moins jeunes, et leur Eglise. Les défis, en effet, ne manquent pas pour que l’Eglise reste une institution-signe pour demain. Quelle place les jeunes y ont-ils réellement, à tous les niveaux ? Comment leurs paroles et aspirations sont-elles prises en compte ? Il ne s’agit pas simplement de faire entrer les jeunes ‘dans la boutique’ par n’importe quel moyen, mais de s’intéresser à leurs projets, respecter leur cheminement parfois maladroit ou un peu à l’écart des engagements de foi dits ‘traditionnels’. Pensons-y en cette période de relancement de nos activités paroissiales...

 

Ralph Schmeder, co-curé de l’unité pastorale « Les Douze »

 

 

 

Matinée de rentrée de l’unité pastorale le 21 septembre à Fexhe-Slins

« Allez à ma vigne ! »

 

Septembre : mois de la rentrée pour les écoles, mais aussi pour les communautés chrétiennes de notre unité pastorale. Comme les dernières années, nous voulons vivre ce nouveau début tous ensemble !

 

Venez donc nous rejoindre à la matinée de rentrée de notre unité pastorale. Le dimanche 21 septembre prochain, tous les habitants des 12 communautés (Paifve, Wihogne, Lantin, Rocourt Saint-Joseph et Saint-Léon, Villers-Saint-Siméon, Voroux, Liers, Milmort, Fexhe, Slins et Juprelle) sont invités à se rendre à la salle La Concordia, rue du Premier de Ligne 10 à Fexhe-Slins (près de l’église) pour commencer ensemble une nouvelle aventure. Vu que la construction de l’Unité Pastorale a encore besoin de nombreux ouvriers, nous avons choisi comme titre général à cette matinée : « Allez à ma vigne ! », en lien avec la liturgie du jour.

 

Voici le programme :

 

·    8h30 : buffet de petit-déjeuner - PAF : 4 euros (gratuit pour les enfants en-dessous de 12 ans)

·    9h45 :  ateliers au choix: cinéma (la vie de saint Paul), partage biblique, activités ludiques pour les familles et groupe de chant...

·    11h00: messe des familles à l’église de Fexhe-Slins.

 

Merci de vous inscrire pour le petit-déjeuner en téléphonant au secrétariat : 04/263.98.00. Pour la préparation de l’eucharistie, une première réunion a déjà eu lieu le 26 août, mais vous pouvez vous joindre à l’équipe en contactant Olivier Windels au 04/278.55.01.

 

Pour plus de renseignements ou pour donner un coup de main, vous pouvez contacter aussi :
Ralph Schmeder (04/239.00.73), Lisy Baré (04/278.38.33), Viviane Dubru (04/278.07.63) ou Jean-Marc Blaffard (04/278.20.09).

Photos de famille (12) :

L’église Saint-Barthélemy de Juprelle

 

Par ce douzième article, nous clôturons la présentation des églises de notre unité pastorale. L’album des photos de famille se ferme ainsi, mais un autre pourrait bientôt s’ouvrir. Nous attendons vos suggestions...

 

L’église saint Barthélemy, dont l’existence remonte bien avant le 15e siècle, se situait autrefois dans la partie avant du cimetière que nous connaissons. Elle était petite, d’une superficie de 2a 25ca et bâtie sur les ruines d’une ancienne villa romaine, dont on a retrouvé les vestiges lors des fouilles effectuées à la fin du 19e siècle après sa démolition. La valorisation de l’église à l’époque était de 8.000 F et son mobilier, y compris les cloches, de 2.500 F.

 

Devant l’état de délabrement de l’édifice, et les réparations incessantes nécessaires, il fut décidé de construire un nouveau lieu de culte, à l’emplacement actuel. La première pierre fut bénite le 24 juillet 1876 par Monseigneur Doutreloux, Evêque Coadjuteur de Monseigneur de Montpellier, Evêque de Liège. La cérémonie de Dédicace (Consécration) eut lieu de 7 juillet 1877. Il faut donc remarquer que notre église a été bâtie en moins d’un an ! Le maître autel vient de l’église Notre-Dame de Tongres, les autels latéraux de la vieille église. Quant au presbytère, il date de l’année 1870, brûla en 1925, et la reconstruction s’acheva en 1926.

 

La dernière guerre apporta son lot de vicissitudes. Deux bombes V 1 tombèrent dans le voisinage, l’un le 22 novembre 1944, l’autre le 17 janvier 1945. Les orgues, datant de 1924, gravement endommagées par le souffle des explosions, et dont une grande partie des tuyaux en étain avait été volée, furent remises en état fin 1946.

 

Une nouvelle cloche, en remplacement de celle enlevée par les Allemands, fut inaugurée le 17 avril 1957.

 

Pierre Vierset

 

« Liège doit Notger au Christ et beaucoup à Notger ! »

 

1008 : Notger, premier prince-évêque de la nation liégeoise, meurt. 2008 : la ville de Liège rend hommage à son père fondateur. Mais qui était Notger ? Comment est née la principauté épiscopale de Liège ? En tant que bons Liégeois nous avons tous suivi au moins une heure de cours sur l'histoire de notre belle ville. Hélas, le temps des cartables et des tableaux noirs est loin...

 

Remontons le temps de onze siècles et rafraîchissons-nous la mémoire. En 972, Notger, clerc formé à la cour impériale germanique, succède par la volonté de l'empereur du Saint Empire de la Nation Germanique Otton II à l'évêque Eracle. Il devient évêque du diocèse de Liège, terre de saint Lambert. Ce diocèse s'étend à l'époque du sud des Pays-Bas actuels au nord de la France et d'Aix-la-Chapelle à la ville de Louvain, soit un territoire correspondant aujourd'hui à dix diocèses. Mais attention, il n'est pas encore question à ce moment du récit de « principauté » de Liège. Il faudra attendre 985 et des circonstances politiques bien particulières pour que l'évêque se voit accorder des pouvoirs temporels.

 

Fin 983, Otton II meurt. Son fils, alors âgé de trois ans, doit lui succéder. La mère du jeune Otton III, la princesse byzantine Théophano, décide de prendre en charge le pouvoir impérial en attendant la majorité de son fils. C'était sans compter sur les cousins du défunt empereur, désireux de prendre les rênes du pouvoir : Henri le Querelleur, ancien duc de Bavière, et Lothaire, roi de France.

 

Notger, enfin politicien, va se servir de cette crise majeure pour asseoir sa domination sur la région mosane. S'éloignant des empereurs à qui il doit son trône épiscopal et se rapprochant de son ennemi, le roi de France, Notger joue un jeu dangereux mais qui se révèlera très judicieux. Théophano, pour s'assurer une bonne fois pour toutes du soutien de l'évêque liégeois, offre à Notger le comté de Huy : une première dans l'histoire du Saint Empire. L'évêque possède dès lors les mêmes pouvoirs qu'un comte : il peut frapper la monnaie, lever les impôts, rendre la justice, etc.

 

Notger exerce donc dans le comté de Huy le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel : c'est la naissance de la principauté épiscopale de Liège. Au fil du temps, la principauté va s'étendre mais n'atteindra jamais les frontières du diocèse. Par conséquent, la principauté épiscopale de Liège et le diocèse de Liège sont deux entités bien différentes sur lesquelles s'exercent deux types de pouvoir bien distincts.

 

Notger ne s'illustra pas uniquement en politique, il fut également un grand bâtisseur. Il reconstruisit la cathédrale Notre Dame et Saint Lambert, le palais épiscopal, les collégiales Sainte-Croix, Saint-Denis et Saint-Jean-l'Evangéliste. Il termina l'édification de la collégiale et future cathédrale Saint-Paul, fit approfondir un bras de la Meuse afin de faciliter la navigation et diminuer les risques d'inondation. Enfin, il fit construire des fortifications tout autour du centre urbain. Notger développa également les écoles liégeoises dont la renommée s'est maintenue jusqu'au 12e siècle. En effet, jusqu'à cette période, notre Cité est connue sous l'appellation « Athènes du Nord ».

 

Si saint Lambert est considéré comme le père de la terre liégeoise, c'est à Notger que la Cité doit sa grandeur et son prestige. Ainsi, « Liège, tu dois Notger au Christ et le reste à Notger ».

 

Marie-Aline Angillis

 

Si vous désirez en apprendre davantage sur l'histoire de Notger, je vous recommande l'ouvrage intitulé « Notger et Liège. L'an mil au coeur de l'Europe » de J.-P. Delville, J.-L. Kupper et M. Laffineur-Crépin publié cette année aux éditions Perron.

Ne manquez pas la grande commémoration du 1000e anniversaire de la mort de Notger organisée le samedi 20 septembre. De 18h30 à 20h30, un cortège historique vous emmènera « Sur les pas de Notger ». Départ sur le quai de la Batte pour arriver place du Marché. A 22h30, sur la place Saint-Lambert, un grand spectacle son et lumière « Duel ardent » clôturera cette journée.

 

 

Banneux

Dans le cadre des festivités du 75e anniversaire des apparitions à Banneux, une exposition « Nostre-Dame. Les plus belles statues de la Vierge en Pays de Liège. 11e - 18e siècles » se tient jusqu’au 26 octobre dans le chœur et les collatéraux de la cathédrale Saint-Paul à Liège. Heures d’ouverture : du mardi au samedi de 12 h à 17 h et le dimanche de 12 h à 16 h. Visite guidée du mardi au dimanche à 15 h.
Pour plus d'informations voir le site internet du Trésor de la Cathédrale : www.tresordeliege.be.

Le Centre Social Italien de Rocourt

 

Le Centre Social Italien (CSI) est né au sein de la Mission catholique italienne de Liège par l'initiative du regretté P. Contardo Grolla; il s'agit donc de quelques missionnaires franciscains venant de Venise dans les années 1948-1950.

 

Établis durant quelques mois à la Montagne de Bueren, soit un endroit peu approprié, le Centre a vite déménagé au n° 4 de la rue Ste-Croix dans un immeuble acheté à la CSC, par une ASBL constituée à cet effet et intitulée CSI; celle-ci était composée de cinq membres dont obligatoirement trois de nationalité belge, le représentant de l'Évêque assurant la présidence; les missionnaires étaient logés au cloître St.-Jean.

 

Vint ensuite l'expropriation pour les aménagements de la Place Saint-Lambert. Le château, situé au n° 286 ch. de Tongres à Rocourt, occupé pendant des années par M. Dejardin, directeur des Charbonnages Ans-Rocourt, était à l'abandon. Sous l'impulsion de Mgr Dejardin, le frère de ce Directeur, la Mission Italienne de Liège s'en porta acquéreur, à la fin des années septante, avec des moyens financiers venant de l'expropriation précitée et d'un emprunt subsidié par la communauté franciscaine de Venise. Des travaux importants devaient y être effectués ainsi que l'aménagement d'une chapelle dans une remise encombrée d'un tas de déchets. Tout a été géré jusqu'à un passé récent (1992), personnellement par un Franciscain au nom de l'équipe de la Mission. Le départ des pères franciscains vers l'Amérique Latine, l'arrivée d'un missionnaire permanent et la participation plus active de tous les utilisateurs dans la gestion du Centre entraînent un tournant de son histoire.

 

Le CSI n'est donc pas seulement un centre pastoral et missionnaire, il est aussi un lien de rencontres et de rayonnement socioculturel de toute la communauté italienne de Liège.

 

La recherche de l'art et de la décoration propres au caractère italien a permis de faire de la chapelle St Damien un véritable bijou; l'artiste Oreste de Housse y a contribué gracieusement en réalisant le sol en mosaïques, le Christ en croix dans le chœur et la rosace en bois placée sur le mur d'entrée. Un jour, profitez d'aller la voir avant ou après les offices chaque samedi (sauf juillet et août) à 19 h et le dimanche à 11h30.

 

Au départ des missionnaires, il restait à rembourser environ 600.000 FB. L’accord fut conclu de convertir ce solde dans un engagement d'aménager l'entrée, l'accès latéral et le jardin à l'arrière pour en faire un petit domaine convivial.

 

Pour couvrir les frais énormes liés à la bonne gestion du CSI, il faut souligner l'existence d'un logement possible pour 15 personnes, trois salles pouvant convenir soit pour réception, conférence, répétition de chorales, cours de danse et cours de langue.

 

Il doit toutefois conserver la mémoire de son origine, l'esprit fondateur et l'ouverture à tous. Le CSI privilégie donc une partie pastorale avec son aumônier, choisi de commun accord entre le Nonce Apostolique et l'Évêque de Liège.

 

Le centre doit continuer à être une famille où tout le monde trouve sa place et où tout le monde est bien accueilli; venez donc boire un verre au bar où vous pourrez déguster en majorité des spécialités italiennes…, ambiance oblige.

 

Pierre Jabas

(avec l'étroite collaboration de M.Gentile que je remercie chaleureusement)

 

N.B. : Le centre est fermé le lundi. Tél. 04/263.14.07.

 

 

Devenir volontaire en milieu hospitalier

 

Composée de six Cliniques en province de Liège, l’association des Cliniques Saint-Joseph et du CHVE constitue un réseau de soins où technologie de pointe et qualité du service assurent aux patients une médecine performante à visage humain.

 

Aujourd’hui nous cherchons des volontaires en milieu hospitalier pour la Clinique Saint-Vincent

 

INTERESSE(E) ?

 

Dans le souci d’humaniser, de rendre plus chaleureux, plus personnel l’accueil des patients, la Clinique a mis sur pied un groupe de volontaires. Depuis plusieurs années déjà, ce groupe accueille, oriente et renseigne les patients et les visiteurs de la Clinique. Forts de cette expérience, nous souhaitons aujourd’hui étoffer cette équipe.

 

Nous recherchons des personnes disponibles à raison de quelques heures par semaine ou par mois de manière régulière. La volonté de se rendre utile et de consacrer, dans un esprit chrétien, quelques moments de temps libre à d’autres personnes, est une des conditions essentielles de l’engagement. En contrepartie, la Clinique offre à ses volontaires différentes formations liées à l’accueil des patients et visiteurs, et un cadre humain et convivial.

 

Si vous êtes intéressé(e), nous vous invitons à prendre contact, dès aujourd’hui avec le service du volontariat de la Clinique. Nous nous ferons un plaisir de vous recevoir et de répondre à toutes les questions que vous pourriez vous poser.

 

Pour tout contact :

Godlieve DE WULF

Rue Fr. Lefèbvre, 207,

4000 Liège-Rocourt,

tél. 04/239.48.33 ou 0495/38.63.27.

E-mail : godlieve.dewulf@chc.be

Tél. secrétariat n° 04/239.43.23.

 

 

 

Catéchèse de Profession de Foi

 

La « rentrée » de la catéchèse de profession de foi a lieu, comme d’habitude, en ces mois de septembre et octobre. Bientôt, les enfants qui sont en cinquième primaire dans une des écoles de notre UP recevront une invitation à s’inscrire à la catéchèse. Dans les différentes communautés, les réunions de lancement sont programmées et auront lieu prochainement. Vous en trouverez la liste ci-dessous.

 

Si vous avez ou si vous connaissez des enfants qui voudraient faire leur Profession de Foi en 2010, il ne faut donc pas oublier de s’inscrire. Passé un certain délai, on n’acceptera plus de nouvelles inscriptions. Pour avoir plus de renseignements, vous pouvez appeler le secrétariat de l’UP (04/263.98.00) ou la personne de référence de votre communauté.

 

 

Communautés

Personnes de référence

Réunion inscription                

Juprelle

Mireille Delcroix
04/ 278 59 17

Jeudi 25 septembre à 19h30 
Foyer Ste Anne (derrière le Régi)   

Rocourt         

St Léon / St Joseph

 

 

 

  Lantin

Secrétariat paroissial      04/239 00 73Le matin entre 9h et 12h + mercredi de 14h et 16h30Claire Lamoline   04/246 48 88

Lundi 22 septembre à 20h                       Eglise St Joseph Rocourt

Voroux / Wihogne Paifve  /  Villers

Corinne Angillis  
04/278 47 48  
04/278 38 14   
Madeleine Pedotti  
04/278 32 00

Mercredi 8 octobre  à 20h               
 Salle Ste Thérèse
(à côté de l'église de Wihogne)

Liers  /  Milmort

Jacqueline Daune
04/278 67 99

Les parents des enfants pré inscrits seront invités par courrier

Fexhe-Slins  / Slins

Abbé M. Tasquin
04/278 54 62  0477/74 26 50

 

Voir feuille paroissiale

 

 

 

Jean-Claude Gianadda

Vendredi 10 octobre 2008

Rencontre chantée avec Jean-Claude Gianadda en l'église Saint Remy de Liers à 20 h 15.  Entrée gratuite - Participation libre.

Venez nombreux chanter avec le troubadour de Dieu.

 

 

La Sainte du mois :

Émilie de Rodat († 1852)

Fête le 19 septembre.

Elle rejoint sa grand-mère dans une sorte de communauté regroupant d’anciennes religieuses. En 1815, ayant entendu quelqu’un déplorer la disparition des écoles gratuites des Ursulines, elle ouvre une école dans sa chambre. Elle devra plusieurs fois émigrer dans des locaux de plus en plus vastes, jusqu’à ce qu’elle puisse acquérir l’ancien couvent des Cordeliers. C’est là qu’elle fonde la congrégation des religieuses de la Sainte Famille en 1819. Les unes se vouaient à l’instruction des filles pauvres, les autres allaient soigner les malades à domicile. Elle connut de longues années de souffrances morales, croyant avoir perdu la foi et l’espérance. Ce ne fut que dans les dernières années de sa vie qu’elle recouvra la paix intérieure et que Dieu lui fit sentir à nouveau son amitié.

 

 

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