Nouvelles des Douze  n° 37

Nouvelles des Douze  n° 37. 1

Editorial : Mgr Léonard à la tête de l’Eglise belge. 1

Célébrations d’entrée en Carême dans l’Unité Pastorale. 2

Le Mercredi des Cendres (17 février) 2

Ecrire une icône. 2

Le Carême : mode d’emploi 2

Quarante... 4

Extraits de l’homélie d’adieu du Cardinal Godfried Danneels. 4

Lisez aussi : Confidences d’un cardinal 5

Conférences décanales : Mettre notre vie en paraboles. 5

Le Saint du mois Claude de la Colombière (1641-1688). 6

RCF-Liège, la Radio Chrétienne Francophone. 6

Nourriture pour l’esprit, l’âme et le coeur 6

Vie de nos communautés. 6

Nouvelles de Fexhe et Slins. 7

Concert de piano à Rocourt 7

Merci pour les pauvres ! 7

Prière pour le début du Carême. 7

Qui est roi ?. 8

 Editorial : Mgr Léonard à la tête de l’Eglise belge

 

Chers lecteurs,

 

Depuis le lundi 18 janvier, c’est officiel : l’archidiocèse de Malines-Bruxelles a un nouvel archevêque, l’Eglise de Belgique a un nouveau primat et la conférence épiscopale a un nouveau président. Il s’agit de Mgr André-Mutien Léonard, évêque de Namur depuis 1991, âgé de 69 ans. Il faudra d’ailleurs dire désormais « André-Joseph », puisque dans le nom officiel de l’archevêque, le saint du diocèse de Namur Mutien-Marie a dû céder la place au patron de la Belgique, saint Joseph, époux de Marie.

 

Mgr Léonard est, comme les médias l’ont bien rappelé, le représentant d’une Eglise plutôt conservatrice, qui met l’accent sur une certaine radicalité au niveau dogmatique et moral, fidèle à l’enseignement de Benoît XVI et de son prédécesseur Jean-Paul II. On pouvait d’ailleurs s’attendre à ce choix, car l’évêque namurois était déjà bien introduit dans les sphères romaines, étant membre de la Commission théologique internationale depuis plus de 20 ans. Rappelons aussi qu’il s’agit d’un primat de transition : en 2015, il atteindra la limite d’âge et devra déjà présenter sa démission au pape.

 

Une enquête du journal « Le Soir » révèle qu’André Léonard était le candidat le plus connu pour la succession du cardinal Danneels, mais aussi le moins souhaité dans la population. En plus, les réactions dans les médias n’étaient pas toujours très positives, parlant notamment d’un nouveau signe de l’importance des courants conservateurs dans l’Eglise catholique.

 

Mais il faut se méfier des caricatures dont les médias généralistes sont toujours très friands : on a parlé notamment du tempérament ouvert, pacifiant et consensuel du cardinal Danneels, alors que Mgr Léonard est décrit comme un provocateur arrogant qui aime s’opposer à la majorité de l’opinion publique, défend un catholicisme dépassé, fermé et manquerait de nuances à tous les niveaux, notamment dans les relations avec les pouvoirs publics.

 

Méfions-nous des images toutes faites et ne jugeons pas trop vite. Souvent, Dieu écrit droit avec des lignes courbes. Une responsabilité peut forger le caractère de quelqu’un. Prions pour que notre nouvel archevêque s’ouvre toujours aux intuitions du Saint Esprit, dans toutes ses décisions…

 

Ralph Schmeder, co-curé de l’UP « Les Douze »

 

 

 

Célébrations d’entrée en Carême dans l’Unité Pastorale

Le Mercredi des Cendres (17 février)

 

A 9h00 :          célébration des Cendres à la Clinique St Vincent.

A 18h30 :    célébration des Cendres à l’église de Fexhe-Slins (célébration spéciale pour les enfants de toute l’UP, avec la collaboration de la catéchèse de profession de foi).

A 19h00 :        célébration des Cendres à l’église de Liers.

A 19h00 :        célébration des Cendres à l'église St Léon de Rocourt.

A 19h00 :          célébration des Cendres à l’église de Wihogne.

A 19h00 :          célébration des Cendres à l’église de Villers-St-Siméon.

 

Le Carême est un temps idéal pour vivre des temps de prière plus fréquents et plus intenses. Et si nous assistions plus souvent à une messe en semaine dans un des villages ? Consultez le guide de l’UP ou téléphonez au secrétariat !

 

Retenez déjà ce rendez-vous important pendant le Carême. Une célébration pénitentielle pour les enfants de l’UP aura lieu le mercredi saint, donc le 31 mars, à 14 heures en l’église Saint-Joseph de Rocourt. Invitation spéciale de nouveau aux enfants de la catéchèse de profession de foi !

 

En ce qui concerne notre action de solidarité pendant le Carême, nous vous donnerons plus de précisions à ce sujet dans le prochain numéro des « Nouvelles des Douze » !

 

Ecrire une icône

Week-end spécial ados du 12 au 14 février

Pour les 12-18 ans.

Passer un WE entre amis tout en apprenant à écrire une icône.

Se laisser guider, étape par étape …

Se laisser soi-même éclairer par des passages d’évangile en lien avec l’icône…

Lieu : Farnières à 6698 Grand-Halleux

Plus d’infos : Sr Anne, salésienne de Don Bosco : 02/468.05.46 ou

annedecoster@hotmail.com.

 

Le Carême : mode d’emploi

 

Le mot « Carême » vient du latin et signifie « quarante ». Le Carême est une période de quarante jours, pendant laquelle les chrétiens sont invités à se préparer à la fête de Pâques.

 

Dans la Bible, le chiffre quarante a une signification symbolique : c'est la préparation d'un événement particulièrement important. Ainsi on nous dit que les Hébreux ont séjourné quarante ans dans le désert avant d'entrer en Terre Promise, ou encore que Moïse s'est préparé pendant quarante jours à rencontrer le Seigneur et que le prophète Elie en a fait autant. De même, avant d'entrer dans sa vie publique, Jésus s'est retiré pendant quarante jours dans le désert.

 

Le Carême, c'est un peu pareil : les chrétiens veulent se débarrasser de tout ce qui les détourne de la volonté de Dieu, ils veulent être attentifs à sa parole et aimer mieux. On appelle cette attitude la « conversion », le changement de cap.

 

Le Carême commence le mercredi des Cendres. Normalement, les cendres sont faites avec des rameaux bénis brûlés. Elles sont là pour nous rappeler que notre existence est bien fragile et que, sans Dieu, nous ne sommes pas grand chose. C'est Lui qui nous appelle à changer, à vivre avec Lui.

 

Et comment changer nos habitudes

pour être plus proches de Dieu ?

 

Il suffit d'ouvrir la Bible, et Dieu lui-même en donne le programme. Tout d'abord, Il nous invite à partager, donner et penser aux autres et aux plus pauvres : « Ils mettaient tout en commun (...) et nul ne manquait de rien » (Actes 5,32-35).

 

C'est en aidant son prochain à vivre davantage en être humain libre que nous collaborons efficacement à la construction du Royaume de Dieu que Jésus est venu inaugurer dans l'histoire et dont nous devons être, tous solidairement, des artisans.

 

Ensuite, le retour à la prière: « Quand vous priez, ne rabâchez pas (...) vous priez donc ainsi : (...) Notre Père... » (Mth 6,7-15)

Nos prières doivent être une rencontre, un coeur à coeur avec le Père qui est feu d'amour merveilleux. Dieu nous étonne chaque jour et ne cessera jamais de nous étonner. Apprendre à faire silence et à écouter, entrer dans l'intimité de Dieu afin que nos coeurs se mettent à battre au même rythme que celui de l'Amour.

 

Ne pas oublier le jeûne: « Mais un temps viendra (...) alors ils jeûneront. » (Mth 9,14-15).

 

Renoncer un peu à soi-même pour laisser de la place à l'autre, se priver de quelques biens au profit d'autrui, mettre notre orgueil de côté et ouvrir son coeur à celui qui souffre, éviter de ne penser qu'à notre confort et notre plaisir pour offrir un peu de notre temps au service de la communauté. Voilà un exemple de « jeûne » qui paraît intéressant dans notre société individualiste.

 

Se réconcilier avec les hommes : « Va d'abord te réconcilier avec ton frère, alors reviens présenter ton offrande. » (Mth 5,20-26)

 

Savoir faire le premier pas vers ceux qui nous gênent, nous agacent parce qu'ils ne pensent pas comme nous. Faire le premier pas vers ceux qui s'opposent à nous. Faire le premier pas après une dispute, un conflit, une rupture, un froid, un malentendu afin de restaurer des relations plus humaines, plus cordiales et plus fraternelles.

 

Se réconcilier avec Dieu : « (...) Au nom du Christ, nous vous le demandons, laissez vous réconcilier avec Dieu. » (2 Co 5, 20)

 

Demander le sacrement de réconciliation n'est pas seulement dire, confesser ses fautes mais croire, confesser que Dieu aime toujours. Comme le berger qui part à la recherche de sa brebis perdue et la ramène sur ses épaules, Dieu lui-même fait le chemin et vient chercher celui qui s'est égaré. Même quand on se sent coincé, perdu, trop fatigué, abandonné, Dieu Lui n'abandonne jamais.

 

Vivre l'eucharistie : « Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites ceci en mémoire de moi. » (Luc 22, 19)

 

Ce sacrement est une vraie rencontre avec Jésus-Christ. Le pain et le vin sont le signe de la présence du Christ, de sa vie donnée pour tous. A travers le pain et le vin, corps et sang du Christ, nous recevons la vie même de Jésus ressuscité. Communier veut dire « être en union » avec les autres. Le chrétien ne reste pas seul avec Jésus dans son coeur. La communion l'invite à aller à la rencontre des autres, à partager avec eux cet immense Amour de Jésus, à donner sa vie comme Lui. Nous avons besoin de cette nourriture, de cette vie de Jésus en nous pour avancer sur la route.

 

Ainsi nous allons avoir quarante jours pour nous remettre en question et pour nous « convertir ». Partout dans le monde, les chrétiens vont lire la Parole de Dieu, prier, réfléchir pour mieux comprendre ce que le Seigneur attend d'eux, pour mieux aimer.

 

Et si, par moment, cette prise de conscience nous paraît difficile, nous voulons croire que c'est le Seigneur Lui-même qui nous aidera à avancer, à être plus heureux, à être plus vivants ! Mettons-nous en marche avec confiance !

 

Corinne Angillis de Voroux

 

Quarante...

 

40 jours de déluge pour nettoyer la terre de ses haines et de ses violences, pour séparer le mal du bien. Et au bout, le signe de l’Alliance, comme un bouquet de fleurs multicolores.

 40 années de désert pour un peuple qui se cherche, qui marche, qui apprend et trébuche. Et au bout de la route, une terre, sa terre, celle qui est inscrite au cœur de l’Alliance…

 40 années de solitude pour un Dieu qui apprend le dur métier d’homme, pour un homme qui lève les yeux vers Dieu. Et au bout du silence, la certitude de la proximité du Royaume…

 40 jours de carême pour un homme en quête de vérité. Pour aller chercher au fond de lui-même ce qu’il y a de meilleur, pour apprivoiser la Bonne Nouvelle. Et au bout, un arc-en-ciel qui donne la vie.

 40 ans ou 40 jours, peu importe, il est là le temps de conversion.

 

Extraits de l’homélie d’adieu du Cardinal Godfried Danneels

 

Cette homélie a été prononcée le 8 janvier dernier en l’église Sainte-Gertrude de Nivelles.

 

« Il y a un moment pour tout et un temps pour chaque chose sous le ciel », dit l’Ecclésiaste dans la Bible (cfr Qo 3,2). Il y a un temps pour commencer et un temps pour finir, un temps pour arriver et un temps pour partir, un temps pour parler et un temps pour se taire. Les bergers viennent et partent, ils passent. Un seul reste : le Bon Berger, le Christ Jésus.

 

C’est donc de lui qu’il faut parler : de Jésus. En ce jour de mon départ, puis-je vous demander, frères et soeurs : ‘Regardez Jésus, l’apôtre et le grand prêtre de notre confession de foi’ (He 3,1). Regardez-le. Il y a tant de choses à regarder de nos jours: la crise économique, notre église en pleine tempête, son manque de personnel et de moyens, tant d’hommes et femmes vivant dans la pauvreté matérielle et plus encore tant d’autres dans le désarroi spirituel, tous les chercheurs de bonheur qui ne le trouvent guère. Oui, je le répète : fixez votre regard sur Jésus. Oui, peut-être semble-t-il dormir à l’arrière de la barque sur le coussin, au milieu de la tempête. Et nous crions comme les apôtres dans l’évangile : ‘Maître, cela ne te fait rien que nous périssions ?’ (cfr Mc 4,38). Et que nous répond-Il, à nous, en pleine bourrasque : ‘Pourquoi avez-vous une telle peur ?’ C’est le seul reproche qu’Il nous fera.

 

Oui, Il est là, au milieu de nous, dans les pauvres et les petits ; Il nous regarde par leurs yeux. Il est là dans sa parole, dans la sainte écriture et la prédication de l’Eglise. Il est là surtout dans le pain et le vin eucharistiques, son vrai Corps et son vrai Sang.

 

Aimez l’Eglise, et aimez-la telle qu’elle est. L’Eglise, je l’ai aimée tout au long de ma vie, comme on aime une épouse. Certes, elle porte ses rides – c’est compréhensible après deux mille ans. Mais elle est belle et fidèle. Nous avons tout reçu de notre Mère, l’Eglise : l’écriture, les sacrements, la splendeur de sa liturgie, la tendresse pastorale qui nous entoure, et surtout nous recevons d’elle d’innombrables frères et soeurs dans la foi et plus encore tous les saints et les saintes.

 

L’Eglise nous donne surtout la liturgie. C’est là, dans le mystère de la sainte liturgie, que réside la force et le charme de l’Eglise. Lorsque cette liturgie est célébrée dans la ferveur et la beauté, l’Eglise s’y manifeste telle qu’elle est en profondeur. Sobre et grandiose à la fois.

 

Beaucoup de nos contemporains ne connaissent plus le message de l’évangile. Sommes-nous revenus aux premiers temps de l’Eglise où il n’y avait qu’une poignée de chrétiens dans un monde païen et indifférent ? Que faire ?

 

Commençons par développer en nous une saine prise de conscience de notre identité chrétienne. Ce n’est pas de la prétention ni de l’orgueil ; c’est être vrai tout simplement. Sans complexes et sans arrogance. Annoncer et pratiquer l’évangile dans toute sa radicalité. Et surtout ne pas en faire un secret.

 

Les chrétiens vivent dans ce paradoxe : ils sont dans le monde, mais pas du monde. C’est crucifiant par moments. Comme cela l’était pour Jésus : on l’a mis en croix, entre ciel et terre. Il a aimé le monde, mais le monde ne l’a pas aimé. C’est aussi notre croix à nous : être suspendus entre ciel et terre. Mais c’est dans cette position de crucifiés que nous apportons au monde une force de résurrection. Jamais un homme n’a parlé comme Celui-là, disait-on de Jésus. Puisse-t-on le dire également de nous, chrétiens, à notre époque.

 

En jetant un regard en arrière sur ma vie d’évêque, je vois ce que j’ai pu réaliser et ce que je n’ai pas pu faire, je vois les succès et les échecs, les occasions que j’ai mises au profit et celles que j’ai manquées, je vois mes dons et mes défauts. Que dire ? Avec le jeune curé dans le roman de Georges Bernanos, « Journal d’un curé de campagne », j’ai envie de dire : ‘Tout est grâce’. Oui, tout est grâce. Merci, Seigneur !

 

+ Godfried Cardinal DANNEELS

 

Lisez aussi : Confidences d’un cardinal

Coédité par Fidélité et Racine, préface de Herman Van Rompuy

 

Avec la complicité de deux journalistes, le cardinal se livre dans une longue interview. Il évoque sa jeunesse, ses modèles, sa vocation, sa formation de liturgiste, Vatican II, la crise de Louvain, la décolonisation, sa nomination comme évêque et comme archevêque, son statut de « papabile »… Il parle aussi, sans langue de bois, de la difficulté de croire, du rapport entre science et foi, de la dépénalisation de l’avortement en Belgique, du manque de vocation, mais aussi de son rapport aux médias et à la culture.

 

Conférences décanales : Mettre notre vie en paraboles

 

Cette année, le doyenné d’Ans vous propose un cycle de cinq conférences pour mieux connaître la parole de Dieu. C’est le père dominicain Dominique Collin qui vient nous éclairer sur les paraboles évangéliques et nous proposer de « mettre notre vie en paraboles ».

Les deux premières conférence ont déjà eu lieu le 25 novembre et le 9 décembre; les autres sont programmées pour le 3 février, le 24 mars et le 21 avril.

Rendez-vous donc à la salle Saint-Vincent (à côté de la chapelle) à Ans, le mercredi à 20 heures. Invitation cordiale à toutes et à tous !

 

Le Saint du mois Claude de la Colombière (1641-1688).

Fête le 15 février.

Né à Saint-Symphorien d’Ozon, il devint Jésuite et fut nommé supérieur du collège de Paray-le-Monial. Il découvrit au couvent des Visitandines une religieuse, Sainte Marguerite-Marie Alacoque, qui avait la vision du Sacré-Coeur de Jésus. Il partit ensuite en Angleterre où il devint prédicateur à la cour de Charles II, puis il fut persécuté en tant que catholique et revint en France, où il mourut d’épuisement à Paray-le-Monial.

 

RCF-Liège, la Radio Chrétienne Francophone

Nourriture pour l’esprit, l’âme et le coeur

 

On pourrait l’appeler presque « la plus grosse paroisse de notre diocèse ». Avec une communauté d’auditeurs qui ne cesse de grandir, la Radio Chrétienne Francophone est devenue un outil désormais indispensable dans l’annonce de la Bonne Nouvelle. Depuis un an environ, RCF-Liège couvre aussi notre unité pastorale, et vos échos positifs, tout comme vos critiques constructives, nous encouragent à continuer dans cette voie.

 

Et pourtant, RCF ne propose pas uniquement des contenus religieux. Elle est une radio généraliste, avec un regard chrétien sur les événements. Tous les domaines de la vie en société sont abordés dans les reportages, entretiens, magazines et informations.

 

Le fait religieux y a évidemment une place de choix. Dans ce domaine particulier, je vous conseille notamment de suivre des émissions comme « Chronique de la vie chrétienne » (mercredi 17h04, jeudi 11h30 et samedi 17h00), « Points de repères (une fois par mois avec Mgr Jousten, lundi 19h30, mercredi 16 h et dimanche 17 h), « Une Foi pour toutes… » (lundi 11h30, mardi 16h et vendredi 17h04) ou encore « Emoi en Toi » (mardi 20h, jeudi 13h15 et dimanche 12h).

 

Le studio de Liège fait partie de la grande famille des 62 RCF en France et en Belgique (à Bruxelles, Namur, Brabant wallon et Bastogne). A l’heure actuelle, les émissions régionales vont de 8h30 du matin à 20h30 du soir (samedi de 9 à 19 heures, et dimanche de 10 h à 12h15 et de 17 à 18 heures). En dehors de cette programmation belge et liégeoise, vous pourrez suivre les émissions proposées par le serveur français.

 

RCF-Liège n’est une radio ni ringarde ni d’amateurs. Vous y trouverez une information de qualité, malgré un budget de fonctionnement très limité. Des grilles de programmes se trouvent exposés dans nos églises. Prenez et essayez, vous ne serez pas déçus ! Vous pouvez aussi aller voir le site internet www.rcfliege.be ou téléphoner au 04/237.00.71. Et le plus important : RCF a fait le choix de renoncer à toute publicité commerciale; la survie de la radio dépend de la générosité financière des auditeurs.

 

R.S., rédacteur en chef

 

Vie de nos communautés

 

 

Nouvelles de Fexhe et Slins

 

·    Les travaux de restauration de l'église de Slins étant toujours en cours, les messes du week-end ont lieu en l'église de Fexhe tous les dimanches à 10h45 .

·    La fête d'Unité des mouvements de jeunesse de Fexhe et Slins aura lieu le 20 mars 2010.

·    La communauté de Fexhe-Slins dispose désormais d’un nouveau conseil de Fabrique composé de Jean-Louis Quarré (président), Andrée Layalle (secrétaire), Marie-Hélène Michiels-Schiepers (trésorière), Alberte Focan-Sauveur et Christine Lamouline.

 

Concert de piano à Rocourt

 

Dimanche 14 février à 16 heures en l’église Saint Joseph (Chaussée de Tongres 345) à Rocourt,

Sabine Neuforge

et Johan Dupont

donneront un concert de piano et percussion, avec des œuvres de Haydn, Schubert, Stravinsky, etc. Entrées: de 2,50 à 8 euros. Une organisation de « Espace Musique ». Renseignements et préventes au secrétariat (04/263.98.00)

 

Merci pour les pauvres !

 

Dans la plupart des églises de notre unité pastorale, de nombreux colis de nourriture non périssable ont été déposés près de la crèche, à l’intention des nécessiteux de nos communautés. Les aliments récoltés à Villers et Juprelle ont été répartis entre les équipes de la Saint-Vincent-de-Paul de Liers et de Rocourt. Il y avait environ 50 kg recueillis dans chaque communauté. Bravo et merci !

 

Prière pour le début du Carême

 

« C’est le temps passé avec ta rose

qui fait ta rose si importante. »

Cette phrase on peut la lire dans

« Le petit Prince »

d’Antoine de Saint-Exupéry.

Elle me fait penser à toi, Seigneur !

Oui, c’est le temps passé avec un ami

qui nous rapproche de cet ami.

C’est le temps passé avec toi qui te

rendra encore plus important

pour moi.

Alors, tout au long de ce Carême,

aide-moi à décider

de passer du temps avec toi.

Même si ce n’est qu’une poignée

de minutes.

Du temps rien que pour toi,

un cadeau, un geste gratuits!

40 jours, cela peut paraître long,

mais cela peut rester vide

si je ne prends pas de temps pour toi.

Je veux prendre

rendez-vous avec toi.

Je sais que tu m’attends, toujours.

 

Qui est roi ?

 

« Le client est roi ! » Cette formule commerciale a été si bien assimilée, que chacun se prend pour un roi : le Moi domine tout. Or, Jésus provoque un chamboulement radical : ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, eh bien, faites-le aussi pour eux ! Pour un Chrétien, c’est le prochain qui est roi. C’est ainsi que Jésus a agi et enseigné .

 

Marcel Metzger

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