Nouvelles des Douze  n° 25

 

23 novembre : Fête du Christ-Roi 1

Clin d’oeil : Dieu n’est pas qu’éternel et tout-puissant 1

Quelques échos du dernier conseil pastoral de l’UP. 2

Il y a 4 ans, Sœur Emmanuelle était à Juprelle. 3

2008 (Ré)-Abonnements à « Dimanche Express ». 5

Conférence sur St Paul par le Père Devillers, Dominicain. 5

Les saints du mois. 5

Élisabeth (morte au 1er siècle). 5

Théodore d’Amasée (mort vers 306). 6

Agnès de Bavière (morte en 1532). 6

Les enfants entreront ensemble dans l’Avent 6

Vie de nos communautés. 7

Bénédiction des animaux. 7

Conférence pour les parents. 7

35 confirmands  dans notre UP ! 7

Culte des morts… ou culte de l’Éternité ! 7

23 novembre : Fête du Christ-Roi

 

Ta royauté n’est pas de ce monde, ô Jésus !

Jamais, tu ne juges le pécheur.

Toujours tu pardonnes

et relèves sans te lasser.

Tu crois en l’homme et tu lui tends tes mains pour le transformer de l’intérieur.

Vraiment, Seigneur, tu es le Dieu

de la miséricorde !

 

 

 

 

Clin d’oeil : Dieu n’est pas qu’éternel et tout-puissant

 

La grisaille de novembre est souvent une période triste. Et pourtant, Dieu nous veut heureux et joyeux, comme les saints qu’on fête le 1er novembre. Pour vous faire sourire un peu, voici quelques affirmations sur Dieu. Bien entendu, ce n’est pas de la haute théologie. Certains trouveront même que c’est un peu léger. C’est un clin d’œil. Dieu aime l’humour, cette façon de ne pas se prendre au sérieux.

 

Dieu est trop grand pour qu’on lui cherche la petite bête.

Dieu est assez savoureux

sans qu’il ait besoin d’être mis à toutes les sauces.

Dieu a le visage voilé; n’essayons pas de lui tirer les vers du nez.

Dieu perce nos pensées et nos cœurs :

inutile de lui vendre un chat dans un sac.

Dieu s’est naturalisé homme :

impossible de le refouler à nos postes-frontières.

Dieu nous crée libres : il propose, et l’homme dispose.

Dieu est un garçon de salle dévoué :

ne soyons pas mesquins sur le pourboire.

Dieu est juif : pourtant, question commerce, nous gagnons au change.

Dieu a tiré la femme du côté de l’homme :

pour qu’ils vivent égaux, côte à côte.

Dieu s’est montré nu sur la croix :

pourquoi, dès lors, l’habit ferait-il le moine ?

Dieu est Esprit invisible et volatile :

mais il n’y a pas de fumée sans feu, non ?

Dieu est fort réservé et toujours en retrait,

mais ça vaut quand même la peine de faire sa connaissance.

Dieu bat tous les records de longévité :

que les vieilles marmites sachent que c’est en elles

qu’on fait les meilleures soupes.

Dieu ne s’est pas toujours réjoui d’avoir créé l’homme:

mais quand le vin est tiré, s’est-il dit, il faut le boire.

 

Je vous souhaite de pouvoir terminer cette année liturgique avec le sourire pour vous lancer avec joie dans le temps de l’Avent.

 

Ralph Schmeder, curé de l’UP « Les Douze »

 

 

 

Quelques échos du dernier conseil pastoral de l’UP

 

Le 1er octobre dernier, les représentants des différentes communautés de notre Unité Pastorale, les prêtres auxiliaires et l’équipe pastorale se sont réunis à la salle « Espaces » de Rocourt. Une fois de plus, le programme était chargé.

 

Une bonne partie de la réunion a été consacrée à la réorganisation de l’animation de notre UP due aux changements d’attribution d’Olivier Windels. Lors d’une réunion avec les prêtres et d’une autre rencontre avec quelques membres du conseil, le vicaire général Alphonse Borras a confirmé que l’abbé Windels n’est plus officiellement curé de l’UP et qu’il ne sera pas remplacé, faute de « combattants ». Néanmoins, malgré sa nouvelle charge de responsable diocésain du Service de la catéchèse et du catéchuménat, il restera actif dans l’UP et continue, jusqu’à nouvel ordre, à s’engager dans des projets comme l’accompagnement des confirmands et du groupe Format 12-15 et l’animation de célébrations.

 

Le problème de notre Unité Pastorale est le fait qu’elle ne dispose pas d’un curé « à temps plein » qui peut accompagner l’ensemble des grands projets et agir comme moteur. Du côté de l’évêché, dans la personne de Pierre Moreau, directeur du « Chantier Paroisses » et invité à toutes les réunions du conseil pastoral, cet handicap peut se changer en opportunité, car cette situation pourrait faire naître de nouvelles vocations « laïques » et amener les paroissiens à prendre plus de responsabilités au service de leurs communautés.

 

Que ferons-nous pendant l’Avent 2008 ? Probablement, les activités s’appuieront une fois de plus sur la campagne de Vivre Ensemble qui œuvre dans le domaine du Quart-Monde, mais le conseil à proposé aussi de mieux faire connaître les actions de la société de Saint-Vincent de Paul. Le sacrement de réconciliation sera lui aussi proposé dans le cadre de l’Avent. Vous aurez de plus amples informations à ce sujet dans les Nouvelles des Douze de décembre.

 

Finalement, le conseil pastoral s’est penché aussi sur l’un ou l’autre projet d’année à développer: une messe spéciale chaque mois dans une des communautés ? Une grande rencontre des mouvements de jeunes de toute l’UP ? La création d’une équipe de préparation des baptêmes ? Nous vous tiendrons au courant sur l’évolution de ces projets.

 

Il y a 4 ans, Sœur Emmanuelle était à Juprelle

 « Yalla ! », chante-t-elle au Paradis

 

Un des grands monuments de l’engagement au service des plus pauvres nous a quittés. Quelques semaines seulement avant son 100e anniversaire, Marie-Madeleine Cinquin, mieux connue sous son nom de religieuse, sœur Emmanuelle, est décédée dans le Var en France. Le 23 novembre 2004, j’ai eu la chance de m’entretenir avec la chiffonnière du Caire lors de son passage à l’école de Juprelle. En voilà quelques extraits retranscrits.

 

Lors de sa rencontre avec des centaines d’enfants de la commune de Juprelle, Sœur Emmanuelle a évoqué l’aventure de sa vie mouvementée : son entrée dans la congrégation de Notre-Dame de Sion, ses années d’enseignante à Istanbul, Tunis et Le Caire, sa décision de se consacrer aux chiffonniers égyptiens et sa lutte pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Depuis 1993, elle vivait en France, tout en continuant ses activités littéraires, ses engagements en faveur des pauvres et ses tournées de témoignages en France et en Belgique.

 

Lorsque vous êtes entrée chez les sœurs de Notre-Dame de Sion à l’âge de 20 ans, vous avez pris le nom d’Emmanuelle. Pour une raison particulière ?

 

Oui, Emmanuelle veut dire « Dieu avec nous ». Je sentais que je n’avais pas les qualités nécessaires pour devenir une bonne religieuse, mais je me suis dit : « Avec Dieu, ça marchera ! ». Et effectivement, j’ai pu tenir bon dans la vie religieuse jusqu’à aujourd’hui.

 

Après 40 ans comme enseignante, vous avez commencé une seconde vie. Qu’est-ce qui a provoqué ce changement radical de vie ?

 

J’ai toujours été une révoltée. Je trouvais que j’étais trop privilégiée, et j’ai voulu partager vraiment la vie des plus pauvres. J’ai eu la permission d’aller dans le plus pauvre des bidonvilles. Et mon âme chantait ! J’avais l’impression que maintenant je pratiquais la justice. Je n’étais plus une privilégiée, mais j’étais en-dessous du seuil de la pauvreté, comme des millions d’hommes et de femmes dans le monde. C’était un changement radical, oui, mais c’était un changement qui avait du sens. Maintenant, je pouvais mieux suivre les pas du Christ, qui s’est fait le pauvre des pauvres.

 

Au Caire, pendant 20 ans, qu’avez-vous fait concrètement ?

 

Nous avons complètement transformé ces bidonvilles, où les filles étaient mariées à 11-12 ans. Les gosses étaient des esclaves battus et n’allaient pas à l’école. Il n’y avait pas d’église, de dispensaire, rien. Alors nous nous sommes acharnés. Le tétanos tuait quatre enfants sur dix. Finalement, nous avons eu docteurs, infirmières, hôpital, école, un centre aussi où les enfants pouvaient aller s’amuser le soir en faisant du scoutisme. Nous avons lancé également une usine de composte transformant le composte en engrais, autrement dit les germes de mort en germes de vie. Maintenant ça continue grâce à l’équipe égyptienne sur place. C’est absolument merveilleux, mais je n’ai pas fait cela toute seule.

 

Où avez-vous trouvé les moyens pour réaliser tout cela ?

 

J’ai voyagé un peu partout en Europe, j’ai parlé de ce que je vivais, de la justice, car, avant de faire de la charité, il faut lutter pour la justice. Chaque être humain est frère ou sœur des autres hommes et femmes. Et quand il y a des personnes qui crèvent de faim, on n’a pas le droit de garder tout son argent pour soi. Voilà tout ce que j’ai dit. Et j’ai été bien comprise…

 

L’Egypte est un pays à majorité musulmane. Etait-ce difficile pour vous de vous adapter à cette culture, en tant que chrétienne et, à fortiori, en tant que religieuse ?

 

Absolument pas. J’ai des milliers d’amis égyptiens et musulmans. Ils ont bien vu que je les respectais profondément, que j’étais leur « grande sœur ». Je n’étais pas là pour les pousser à devenir chrétien, mais ensemble, nous nous sommes occupés à aider les plus pauvres. J’ai suivi ce que Vatican II demandait : dans le respect les uns des autres, marcher ensemble vers le même Dieu.

 

Etes-vous revenue en France par obéissance ou pour des raisons de santé ?

 

Non, non, uniquement par obéissance, sinon j’y serais encore. A 85 ans, on m’a dit : « Stop, tu dois maintenant rentrer en France ». Puisque j’ai fait vœu d’obéissance, j’ai accepté. Dieu m’a aidée, et je suis très heureuse dans ma situation actuelle parce que j’écris des livres, je donne des conférences, je vais partout où l’on m’appelle, et je peux y donner un message d’amour.

 

Où cherchez-vous cette énergie qui vous caractérise encore maintenant ?

 

Depuis l’âge de 12 ans, j’ai senti dans mon cœur le besoin de communier régulièrement à la messe. Jésus m’appelait à aller vers lui tous les jours. Donc, depuis l’âge de 13-14 ans, j’ai reçu le Christ dans mon cœur, et il y a eu très peu d’exceptions. Faites le calcul pour voir combien de fois le Seigneur m’a donné sa force et son énergie à travers l’eucharistie !

 

Au Caire, étiez-vous missionnaire ou avez-vous fait de l’aide au développement avant tout ?

 

Lorsque je suis arrivée en Turquie, toute jeune, ma supérieure m’a dit : « A partir de demain, vous aurez en classe des filles musulmanes, chrétiennes et juives. Vous n’avez pas le droit de leur parler de Jésus-Christ ». Moi, ça m’a fait un choc. Je voulais baptiser toute la Turquie avec le crucifix à la main. Ma supérieure m’a expliquée alors que les enfants appartiennent à leurs parents ; je n’avais donc pas le droit de faire pression sur eux pour les changer. Mais je devais « transpirer » Jésus-Christ et leur apprendre à aimer. C’est d’ailleurs l’essence du christianisme. Dans l’évangile, Jésus dit: : « J’avais faim, soif, j’étais malade, en prison, et tu es venu vers moi. Entre dans la joie de ton Seigneur… ». Remarquez que le Christ ne parle pas de religion, mais d’actes d’amour, et il s’est fait homme pour nous apprendre à aimer. Et toute ma vie, j’ai essayé de parler d’amour. Et, comme dit saint Jean, « celui qui aime connaît Dieu »…

 

Pour conclure : quel est votre souhait le plus cher ?

 

Que les hommes s’écoutent, se regardent, se sourient, s’aiment les uns les autres, au-delà des barrières de religions, de couleurs de la peau, de nationalités ou de cultures. Nous sommes tous les bien-aimés de Dieu. Puisque Dieu aime tous les hommes, nous devons aussi nous aimer les uns les autres. Et heureusement, lors de mes voyages, j’ai rencontré énormément d’hommes et des femmes qui savent se dévouer pour les autres. Dieu merci !

 

Propos recueillis

par Ralph Schmeder

 

 

2008 (Ré)-Abonnements à « Dimanche Express »

 

Vous vous souvenez ? Il y a 2 ans, à pareille époque, nous avons lancé une campagne d’abonnement au journal « Dimanche Express ». Une soixantaine de paroissiens de notre Unité Pastorale se sont laissés « séduire » et, d’après de nombreux échos assez unanimes, ils ne le regrettent pas. Avoir un journal hebdomadaire avec des articles sur l’actualité, des textes de réflexions et de nombreuses autres rubriques pour seulement 15 euros n’est pas courant. Ils ont renouvelé leur abonnement l’année dernière.

 

Les abonnés actuels vont à nouveau être contactés personnellement pour leur proposer le renouvellement de l’abonnement pour 2009. Le prix est légèrement modifié cette année et passe à 16 euros. Mais nous espérons que beaucoup d’autres auront envie cette année de rejoindre le cercle des lecteurs de « Dimanche ». A partir du début du mois de décembre, vous trouverez dans votre église des exemplaires gratuits de ce journal, accompagnés d’une lettre d’abonnement. Nous vous invitons donc à vous servir abondamment et à parler de cette opportunité exceptionnelle autour de vous. Un abonnement à « Dimanche Express » pourrait même signifier un très beau cadeau de Noël dont le bénéficiaire jouira pendant toute une année.

 

Attention: pour des raisons administratives, les abonnements doivent nous parvenir impérativement pour le 15 décembre 2008 ! Pensez-y pour ne pas laisser passer cette chance.

 

Conférence sur St Paul par le Père Devillers, Dominicain

Doyenné de Ans

Mercredi 5 novembre – a 20H - Salle St Vincent à Ans

Coin de la rue d’Othée et de la rue des Français

LA RENCONTRE DU CHRIST VIVANT.

 

Le jeune Saül était un grand croyant, un pratiquant fidèle, un étudiant en théologie. Et pourtant, un jour, sa vie a basculé: il a été rencontré par Jésus qu'il croyait mort et qui venait à lui comme le Seigneur Vivant. Une seule nécessité s'imposa à lui: annoncer partout cette Bonne Nouvelle. Le Christ est tout.

 

 

Les saints du mois

 

Élisabeth (morte au 1er siècle).

Fête locale le 10 février

ou le 5 novembre.

 

Mère de Jean-Baptiste, femme du grand-prêtre Zacharie et cousine de la Vierge Marie, on considère qu’elle est morte en 10 après J.-C. Elle était très âgée lorsque son mari fut visité par l’ange Gabriel qui lui annonça qu’il aurait un fils, Jean-Baptiste. Elle était enceinte lorsqu’elle reçut la visite de Marie (fête de la Visitation) à qui l’ange Gabriel avait aussi annoncé la venue du Sauveur.

 

Théodore d’Amasée (mort vers 306).

Fête le 9 novembre.

 

Soldat romain (peut-être général), il fut décapité en raison de sa foi. Sa vie, déjà exemplaire, fut embellie avec le temps. On lui attribua l’exploit d’avoir mis à mort un dragon, comme saint Georges et saints Dimitri. Tous trois d’ailleurs sont les “trois grands soldats martyrs” des Orientaux. Théodore meurt à Amasée, en Turquie d'Asie. Il est le patron des soldats.

 

 

 

Agnès de Bavière (morte en 1532).

Fête locale le 11 novembre.

 

Fille du duc de Bavière, Louis IV, elle fut élevée par les religieuses clarisses de Saint-Jacques de Munich. Les clarisses de Bavière la vénèrent comme une sainte. On raconte qu'au moment où ses parents voulurent la reprendre, elle courut vers le tabernacle en s’écriant : “Que je ne sois jamais séparée de vous.” Elle tomba alors malade et mourut quelque temps après.

 

 

 

Les enfants entreront ensemble dans l’Avent

 

Après le beau succès du Mercredi des Cendres de cette année, les catéchistes de notre Unité Pastorale ont décidé une fois de plus d’unir leurs forces pour organiser une activité commune à tous les enfants qui se préparent actuellement à la profession de foi dans les 12 communautés de l’UP.

 

Cette fois-ci, les enfants vivront une matinée où il sera question de l’année liturgique et de l’entrée dans cette période magique qui nous prépare aux fêtes de Noël. Concrètement, les enfants sont attendus le dimanche 30 novembre pour 9 heures à la salle du basket près de l’église de Liers. Réunis tous ensemble, puis répartis en petits groupes, ils vivront plusieurs activités avant de rejoindre l’église de Liers où la matinée se terminera par une eucharistie à 11 heures. A cette célébration sont évidemment invités les parents des enfants, d’autres enfants qui ne sont pas à la catéchèse, les habitués de la messe du dimanche matin à Liers (attention au changement d’heure !) et toutes les personnes intéressées par une messe « très jeune ». Elle sera d’ailleurs animée par les membres de plusieurs chorales de notre UP.

 

Signalons par la même occasion qu’une soixantaine d’enfants sont inscrits actuellement en première année de catéchèse de profession de foi. Voici quelques chiffres mais qui ne sont pas définitifs : Fexhe et Slins : 21 enfants; Rocourt-Lantin : 17; Juprelle: 11; Liers-Milmort : 7 et Voroux-Paifve-Wihogne-Villers: 4 enfants inscrits.

 

Sachez aussi que les enfants de seconde année vivront pour la première fois la retraite de profession de foi ensemble. Elle aura lieu du 17 au 19 avril 2009, donc le dernier week-end des vacances de Pâques. Merci aux familles concernées de tenir compte de ces dates dans la programmation de leurs vacances, car la retraite est obligatoire pour les enfants !

 

 

Vie de nos communautés

 

Bénédiction des animaux

 

Le dimanche 16 novembre, en lien avec la fête de saint Hubert (3 novembre), nous vous proposons une bénédiction des chevaux et des animaux en général. Rendez-vous à 12 heures devant l’église de Saint-Léon à Rocourt. Venez donc nombreux avec vos animaux domestiques…

 

Conférence pour les parents

 

Le lundi 1er décembre à 20 heures, la communauté scolaire de Voroux invite toutes les personnes intéressées, et en particulier les parents des élèves, à une conférence intitulée « Mon enfant ne sait pas lire alors qu’il est intelligent. Que se passe-t-il? ». La conférencière est Anne-Marie Frère, psychopédagogue. La soirée a lieu à l’école. P.A.F.: 3 euros.

 

35 confirmands  dans notre UP !

 

Actuellement, 35 jeunes âgés de 15 et 16 ans se préparent au sacrement de la confirmation. L’équipe d’animateurs est composée d’Olivier Windels, Sabine Louis, Laurence Charlier, Valérie Voyeux, Sarah Lorguet, Quentin de Lamotte, François Camel et Luc de Marneffe.

 

 

Culte des morts… ou culte de l’Éternité !

 

La foi chrétienne apporte une nouvelle dimension, car Jésus nous introduit dans le monde de l’éternité. L’événement de la mort provoque une séparation entre ceux qui restent et ceux qui partent. Elle engendre une véritable rupture, on pourrait même dire une réelle coupure. En peu de temps, la mort est capable d’anéantir des vies humaines, de détruire des rêves et des projets.

Face à la mort, nous sommes souvent démunis, paralysés et incapables de réagir positivement. Pourtant, Jésus nous montre le Chemin, la Vie, et la Vérité… Cette route n’est autre que sa propre Résurrection ! C’est dire qu’il nous rappelle que la mort physique n’a jamais le dernier mot. Le travail de deuil passe obligatoirement par cette nouvelle réconfortante et bonne !

Alain Donius

 

 

                Top    Retour      Accueil